jeu : halte au sms

Halala!!! Les grands débats philosophiques de mon année de term et de mes premières années de fac! Toutes ces choses qu'on a pu changer rien qu'en en parlant! C'est dans ces cas la qu'on se dit que c'est pas si compliqué de faire bouger le monde... Et mine de rien, je pense que si les choses stagnent ca doit etre souvent parce que les gens ne philosophent pas assez.
En tout cas, j'y retournerais bien en cours de philo moi...

Moi aussi, du moment que l'on fait de la philo, parce que pour le moment, c'est un simulacre de cours.

Enfin, comme tu as dis, on doit philosopher en tout instant.

En parlant de philosophie, j'ai redigé un petit texte durant cette matiere si ... ennuy... importante (mais je n'ai pas réussi à dépasser mon frère sur ce coup là):

"Aujourd'hui,c'est à dire maintenant, à l'heure a laquelle je parle, ou plutôt (pas l'ami de Mickey le chien de Mickey)a l'instant où j'écris, je vais vous parler de cette grande question, de la grande question, de la plus grande question a laquelle aucun physiciens, astrophysiciens, mathématiciens, météorologues, psychologues, et autre grands savants n'a jamais répondu, cette grande question qui est si petite mais qui veut dire tant de choses ( j'ai toujours pas posé la question que ca fait entre 1 et 2 minutes que tu es en train de te dire:"putain il va la poser cette question!!!!!").Donc cette question est : Pourquoi?... Pourquoi la Terre est ronde? Pourquoiles nuages, la terre, le vent, le soleil, les animaux, les hommes, la vie? Pourquoi la philo?(celle là restera toujours sans reponse) Pourquoi quand on pète sa pue? Pourquoi quand on boit trop on vomit? Pourquoi les schtroumpfs sont bleus? Pourquoi je pose tant de questions avec pourquoi a l'interieur? Tant de questions qui nous avancent a rien parce que tant qu'il y a de l'alcool, il y a de la fete, et tant qu'il y a de la fete, les seules questions qui peuvent se poser sont(dans l'ordre chronologique):
"Ou est l'alcool?? Euh..... elles sont ... euh ...ou sa tes chiottes ....??!! ou sa qu'c'est que j'peux dormir??"
Enfin voila si vous n'ëtes pas d'accord avec moi... Bah c'est la meme!! allez a ciao !!"

Enfin voila c'était juste pour que vous vous amusiez a trouver des fautes si il y en a !! Bonne chance !!

Ben... pour les fautes, je verrais demain.


Ceci dit, je vais répondre à ta question primordiale: la communauté scientifique s'y est bien intéressée (penses-tu, dès qu'il y a une question débile qui fait réfléchir pour rien, ils se croient obligé d'y réfléchir). Résultat: ils ont décrété après moult réflexion que les secrets de la nature du monde sont inviolables, et que pour ce qu'on en sait et ce qu'on en saura jamais, l'univers n'est scientifiquement qu'interprétable, c'est-à-dire que toute nos sciences, nos techniques, que l'on observe au-delà des confins de l'espace et du temps, ou en rentrant dans les plus petits composants de la matière, on ne peut que baser notre science sur ce que la nature nous montre, sur les effets, mais non pas sur la nature elle-même. Ainsi, ils ont supputé qu'elle peut être n'importe quoi. Virtuelle? Pourquoi pas... Mais ainsi, il faut re-baser nos connaissances, qui ne sont plus des connaissances sur la nature comme on nous l’a enseigné, mais des connaissances sur les signes qu’elle nous envois et que nous ne pouvons qu’admettre, qu’accepter comme tel, sans chercher à les vérifier, faute de moyens, de méthodes.


En effet, comment prouver quelque chose quand on ne sait qu’une chose, c’est qu’on ne sait rien ? Descartes a essayé avec sa philosophie, et il a échoué.


Mais comment alors ont fait les premiers hommes pour créer la science, c’est-à-dire pour prouver des vérités alors qu’ils ne connaissaient rien ? Ils ont fait comme nous le faisons toujours, c’est-à-dire en supposant, voire en admettant la plupart des faits qui les intéressaient pour chercher à les prouver par la suite, si besoin en était. Cependant, peu de choses ont été remises en question, et beaucoup de faits ont été admis à tord (comme par exemple la rotation du système solaire). Une fois encore, certains ont tout remis en cause pour avancer, comme le fît Descartes ou Copernic.


Pour en revenir au problème de base, nous montrons ici que nous avons fondé toute notre science sur de faits non établis, non prouvés et donc que nous sommes vulnérables à un changement brutal de toutes les lois physiques, ou nous risquons à un moment de tomber sur un « mur » infranchissable car nous ne pourrons trouver les lois régissant l’espace qui se trouve derrière, tout en sachant que l’on ne pourra jamais les prouver, ni les comprendre, ni même les étudier, ou espérer en voir se dessiner l’ombre d’une miette…


Ainsi, peut-être la science n’est pas infinie, peut-être a t’elle une limite infranchissable?


Mais une autre théorie serais que plutôt que de rentrer frontalement dans un mur, nous nous en approcherions sans cesse, sans jamais l’atteindre. Cette théorie est résumée par la phrase de Paul Bert: "La science ouvre à l'esprit humain une voie infinie, et le lance, par une série d'étapes sans nombre, sur l'Asymptote de la Vérité."




A méditer…

LE grand retour des posts à rallonge de Fin!!!

Bon, avant toute chose, je tiens à dire que denver, ton texte est effectivement parsemé de fautes (la liste des physiciens et compagnie sans "s" à chaque fois, le "sa" au lieu du "ca" récurrent, pas d'accent sur un e, chercher lequel, et puis quelques espaces oubliés...).

Et pour répondr à Fin, il est évident que la science (ou plutôt les sciences) a de tout temps cherché à résoudre les mystères de la nature, en se basant sur des faits observés et vérifiables. Et c'est d'ailleurs indispensable, une vérité qui ne peut pas être prouvée n'en est pas vraiment une, même les postulats supposés vrais ne le sont vraiment que dès lors qu'ils ont été démontrés (le théorème de Fermat, la quadrature du cercle, l'infini de l'univers...).

Cependant, aucune science ne se considère comme exacte, elles sont toutes conscientes de leurs limites. Il suffit juste de savoir si l'on peut accepter leurs résultats commes étant valables et corrects, ce qui est fait la plupart du temps, et heuresement! Car comment sinon pourrions nous vivre dans l'incertitude constante, imagine!! Peut être que rien de ce que nous savons n'est vrai, et c'est probablement le cas pour bon nombre de choses. Mais il nous est nécessaire de les considérer vraies, tout simplement pour notre équilibre mental.
On peut toutefois considérer que la plupart des choses que nous savons sont "vraies", tout simplement parce qu'elles permettent une explication satisfaisante de ce qui a été pendant des siècles un mystère. Du moins pour tout ce qui a pu être étudié assez longtemps. Bien sûr, il reste et il restera toujours dans des quantités de domaines des choses inexplicables, ou du moins floues. C'est ce qui motive les chercheurs. Et quand ces choses seront expliquées, il s'en trouveront toujours pour les réfuter, intégralement ou en partie, soulevant ainsi de nouveaux problèmes, de nouvelles questions... n'empêche que nous seront bien obligés en attendant de les considérer comme vraies, c'est la loi du savoir... Et comme Einstein remodelant les lois de la gravité de Newton, ce sera une grande avancée de la conaissance, aucune raison de se demander si les conclusion sont valables au pas tant que rien n'aura montré le contraire!!!

Il faut bien sur savoir se poser des questions. Mais il faut aussi accepter les réponses qu'on a déjà, ou on n'avance plus... Alors oui, peut être que la science va droit dans un mur. Mais un mur, quoi qu'on en dise, on peut toujours passer à travers. et de toute manière, avant qu'on arrive, on ne sera peut-être plus là pour en discuter...

sans oublier que les prolégomènes examorphiques de l'en soi sont indissosciables des shémas ethno-culturels du camps signifiant. olé!

Je ne sais comment vous faites cela. Je n'arrive pas à faire de longs postes et encore moins les lire. D'ailleurs le votre au bout de deux lignes je suis directement passé à la fin